The Limiñanas, Chabada, Angers, 30/03/18
Ah,
le concert du vendredi soir ! Le gros plus pour lancer un long week-end
! Virée avec le pote Domi qui découvre complètement ce groupe et sa
musique si particulière !
La première partie est assuré par The Mirrors, groupe local et duo détonnant ! Un batteur bûcheron et une guitariste sauvage ! À première vue, des White Stripes « inversés », mais musicalement j’ai trouvé une ressemblance avec Royal Blood. Du rock qui lorgne vers le Metal avec cette batterie martiale et cette guitare nerveuse. Excellent moment avec des titres qui marquent et une énergie communicative ! Quoiqu'il en soit, un groupe à suivre !
La première partie est assuré par The Mirrors, groupe local et duo détonnant ! Un batteur bûcheron et une guitariste sauvage ! À première vue, des White Stripes « inversés », mais musicalement j’ai trouvé une ressemblance avec Royal Blood. Du rock qui lorgne vers le Metal avec cette batterie martiale et cette guitare nerveuse. Excellent moment avec des titres qui marquent et une énergie communicative ! Quoiqu'il en soit, un groupe à suivre !
J'ai
déjà vu les Perpignanais lors d'un festival à Nantes il y a quelques
années et j’étais ressortis frustré ! J'avais trouvé la prestation
excellente mais trop courte ! Là c'est un set complet auquel nous avons
eu droit ! Près d'une heure trente avec 22 titres, 2 rappels (si l'on
peut appeler ça comme ça, vu que l'on n'a quasiment pas attendu !) Et
aucun temps mort ! Leur pincée de Velvet, agrémenté d'un chouia de Garage, de Gainsbourg période anglaise et de quelques giclées de guitare Moriconniène, fait mouche auprès du public venus en nombre, paritaire et hétérogène.
Lionel règle tout seul ses grattes et l'on sait que le son va être dantesque ! La fuzz râpeuse est de sortie et prête à faire parler la poudre ! Le titre inaugural de cette soirée, le bien nommé Ouverture du dernier album, va confirmer cette impression. La musique démarre et l'on ne sait plus s'il on est encore en 2018 ou si nous sommes coincés dans les 60's. Non seulement les Liminanas sont planants mais ils ont gagné en puissance ! Et quand Lionel fait vrombir sa gratte c'est le pied total ! Il enchaînent les perles les plus anciennes (Down Underground, Tigre du Bengal, Funeral Baby, Betty and Johnny….) et les petites bombes des deux derniers opus (Dimanche, avec Bertrand Belin sur disque, The Gift et Garden of Love avec Peter Hook et sa basse ou Istanbul is Sleepy chanté par Anton Newcomb sur disque ) ! C'est lui qui donne le tempo, arrête les morceaux, les fait s'étirer... Le patron quoi ! Parfois, c'est carrément 4 guitares qui nous dressent un mur de sons fuzzés plombé par la batterie répétitive et tribale de Marie ! Le pied total, sur Betty and Johnny étiré, pilonné et qui met carrément en état de transe !
Lionel règle tout seul ses grattes et l'on sait que le son va être dantesque ! La fuzz râpeuse est de sortie et prête à faire parler la poudre ! Le titre inaugural de cette soirée, le bien nommé Ouverture du dernier album, va confirmer cette impression. La musique démarre et l'on ne sait plus s'il on est encore en 2018 ou si nous sommes coincés dans les 60's. Non seulement les Liminanas sont planants mais ils ont gagné en puissance ! Et quand Lionel fait vrombir sa gratte c'est le pied total ! Il enchaînent les perles les plus anciennes (Down Underground, Tigre du Bengal, Funeral Baby, Betty and Johnny….) et les petites bombes des deux derniers opus (Dimanche, avec Bertrand Belin sur disque, The Gift et Garden of Love avec Peter Hook et sa basse ou Istanbul is Sleepy chanté par Anton Newcomb sur disque ) ! C'est lui qui donne le tempo, arrête les morceaux, les fait s'étirer... Le patron quoi ! Parfois, c'est carrément 4 guitares qui nous dressent un mur de sons fuzzés plombé par la batterie répétitive et tribale de Marie ! Le pied total, sur Betty and Johnny étiré, pilonné et qui met carrément en état de transe !
En rappels, un Pink Flamingo intimiste à trois avant que tout le groupe ne revienne. Deux reprises (Russian Roulette des Lords of the New Church et Gloria des Them) tellement à leur sauce, que l'on dirait qu'ils les ont écrites ! Et The Train Creep A-Loopin
pour terminer en force cette soirée ! Même bémol que la dernière fois :
dommage que Lionel ne prenne pas le micro pour nous charmer avec son
talk over, pourtant l'une des marques de fabrique du groupe ! Sinon,
c'est un sans faute.
Content d'avoir chopé des places pour retourner les voir dans une poignée de jours à Nantes !
Donc... à très bientôt les amis rockeuses et rockeurs !
Arno
